Difference between revisions of "MOOC:Auto-eval Act45-doc"

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{Pour consulter du contenu HTML de l'internet IPv6, un client uniquement IPv4 doit-il obligatoirement passer par une solution de traduction comme l'ALG ?
 
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|type="()"}
 
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+ oui
 
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- non
 
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- peut être
 
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- uniquement pour les contenus encryptés
 
  
 
{Dans le cadre d'une communication entre un client IPv4 et un serveur IPv6 passant par une ALG, le client doit il identifier le seveur via :
 
{Dans le cadre d'une communication entre un client IPv4 et un serveur IPv6 passant par une ALG, le client doit il identifier le seveur via :
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===Explications===
  
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# Le NAT64 est un mécanisme de transition. Il n'effectue la traduction que d'un réseau IPv6 vers l'internet IPv4. Il n'existe pas de NAT permettant aux réseaux IPv4 d'accéder à l'internet IPv6. L'utilisation d'ALG est donc le seul mécanisme utilisable.
 
 
# Il est possible qu'une application sache manipuler les adresses IPv6 mais pas la pile protocolaire d'un client IPv4 uniquement. Les requètes prises en charge par l'ALG doivent donc identifier le serveur via le nom de domaine. Il est du ressort de l'ALG de faire la résolution de noms pour obtenir l'adresse IPv6 du serveur (dans notre exemple).
 
# Il est possible qu'une application sache manipuler les adresses IPv6 mais pas la pile protocolaire d'un client IPv4 uniquement. Les requètes prises en charge par l'ALG doivent donc identifier le serveur via le nom de domaine. Il est du ressort de l'ALG de faire la résolution de noms pour obtenir l'adresse IPv6 du serveur (dans notre exemple).

Revision as of 15:46, 6 April 2016

MOOC >Contenu> Séquence 4 > Activité 45


Niveau 1 : Reconnaitre / Identifier

(5 ou 3 questions)

1. Dans quel(s) cas une ALG ne présente-t-elle pas d'intérêt :

pour économiser le déploiement des mécanismes de traduction d'adresses.
pour connecter les applications sur des hôtes qui utilisent une version du protocole IP differente lorsque les services de traduction d'adresses sont inopérants.
quand la totalité des hôtes concernés (client et serveurs) sont en double pile.
pour rendre un serveur uniquement IPv4 accessible en IPv6.

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Explications

  1. Dans cette situation, la communication est soit en IPv4 ou IPv6 de bout en bout. Une ALG entre les 2 protocoles n'a pas lieu d'être.

Niveau 2 : Comprendre / Appliquer

(3 ou 2 questions)

1. Lorsque la traduction s'effectue par une ALG

le routage des paquets doit être symétrique afin de passer par la même ALG, que la voie aller, pour la voie retour.
le routage des paquets peut être asymétrique, cela ne change rien car la voie de retour passe obligatoirement par l'ALG de la voie de l'aller.
le routage des paquets peut être asymétrique car une autre ALG peut être empruntée pour la voie retour
le routage des paquets doit être asymétrique afin de passer par une autre ALG, que la voie aller, pour la voie retour et ainsi répartir la charge.

2. Une entreprise dont le réseau est uniquement en IPv4 doit rendre son service web accessibles en IPv6. Quelle est la bonne solution ?

Utiliser une réseau de distribution de contenus (Content Delivery Network CDN) double-pile pour éviter le problème de robustesse posé par une ALG
Dupliquer ses serveurs pour en avoir en IPv4 et d'autres en IPv6
Installer ses serveurs en double pile
Installer une ALG devant ses serveurs

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Explications

  1. Lors d'utilisation des ALG, l'IP distante avec laquelle les hôtes vont interagir sera celle de l'ALG. Que le routage soit symétrique ou non n'a donc aucun impact.
  2. Cette entreprise n'a pas de préfixe IPv6, elle ne peut procéder à la configuration d'un réseau IPv6. A ce stade, elle doit s'orienter vers un prestataire connecté à l'Internet v6.

Niveau 3 : Analyser / Résoudre

(2 ou 1 questions)

1. Dans le cadre d'une communication entre un client IPv4 et un serveur IPv6 passant par une ALG, le client doit il identifier le seveur via :

l'adresse IPv6 du serveur
le nom de domaine du service
l'adresse IPv4 compatible IPv6 du serveur
l'adresse IPv4 du serveur

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Explications

  1. Il est possible qu'une application sache manipuler les adresses IPv6 mais pas la pile protocolaire d'un client IPv4 uniquement. Les requètes prises en charge par l'ALG doivent donc identifier le serveur via le nom de domaine. Il est du ressort de l'ALG de faire la résolution de noms pour obtenir l'adresse IPv6 du serveur (dans notre exemple).
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